” Un livre éclairant, pénétrant, qui se lit comme un roman. ” (Aurélien Boivin, Québec français, Montréal)
” Donald Smith a vraiment fait oeuvre d’amour pour la littérature. Un livre vraiment très intéressant. ” (Normand Cazelais, ” Bon Dimanche “, TVA)
” Si vous ne savez pas quoi lire en ‘québécois’, procurez-vous le livre de D. Smith. ” (Marc Chabot, Nuit blanche, Québec)
” Notre entretien, vraiment très personnel, ne me déplaît pas du tout. ” (Jacques Ferron, lettre personnelle)
” Cet ouvrage brille par l’excellence de sa présentation. Dans un style alerte et vivant, Smith sait s’adapter aux auteurs les plus divers. ” (Paul Gay, Le Droit, Ottawa)
” Il faut lire ce livre pour la pertinence des questions que Smith a posées et pour la manière dont il a su nous introduire aux auteurs qu’il a choisis. ” (Louis Lasnier, Nos livres, Montréal)
” Un livre de grande fraternité face à notre littérature et à nos écrivains. Un important document touchant notre littérature… Des réponses d’autant plus vives que les questions piquaient les écrivains. ” (Wilfrid Lemoine, la radio de Radio Canada)
” Félicitations à Donald Smith et à Québec/Amérique pour L’ÉCRIVAIN DEVANT SON OEUVRE que j’ai lu avec intérêt et plaisir. ” (Antonine Maillet, lettre personnelle)
” A guided tour to a writer’s workshop. A delight and essential reading for anyone interested in Québec. ” (Alberto Manguel, Books in Canada,Toronto)
” Un livre passionnant. J’ai dévoré en particulier Ferron et Thériault. Vous m’avez fait découvrir Gilbert La Rocque et donné envie de le lire. ” (Jovette Marchessault, lettre personnelle)
” Donald Smith fait voyager le lecteur dans l’univers fascinant de l’imaginaire. ” (Jean-Guy Martin, Le Journal de Montréal)
” J’admire beaucoup votre travail et votre manière de le mener. ” (Gabrielle Roy, lettre personnelle)
” Un livre qui nous fait passer dans le monde extraordinaire de l’imaginaire. ” (Claude Saucier, ” Téléservice “, la télévision de Radio-QuébecThe Toronto Star)
“Smith’s writing is lively stuff. The sort of thing that raves footprints in the mind.”
(The Toronto Star)